Consortium

Le projet Sedi-PLAST est porté par J. Gasperi, du Laboratoire Eau Environnement de l'Université Gustave Eiffel. Le projet Sedi-PLAST est pluridisciplinaire et intègre 7 équipes de recherche dont des chimistes, géochimistes, polyméristes et sédimentologues ; chaque équipe étant fortement reconnue dans son domaine d’expertise.

Le Laboratoire Eau Environnement et Systèmes urbains (LEESU, B. Tassin, R. Dris, N. Bouzid) s’intéresse aux MP depuis 2014 et a été pionnier dans l’étude des MP dans les milieux continental et urbain. Le LEESU coordonne plusieurs projets nationaux sur les microplastiques dont le projet Plastic-Seine (GIP Seine Aval), Macro-Plast (Ministère) et Dyna-PLAST (I-Site FUTURE) et participent à plusieurs projets européens et internationaux.

L'UMR Metis (S. Derennes, C. Anquetil) est spécialiste des questions de caractérisation de matière organique et de pyrolyse couplée à la spectrométrie de masse.

L’institut de Chimie de Clermont Ferrand (ICCF, V. Verney, F. Delor-Jestin et H. Aaskanian) regroupe des polyméristes, spécialistes de l’altération des polymères. Il fut également un des premiers laboratoires en France à initier des travaux sur les MP et porte actuellement les projets Plastic-Cages et RiverPlast. Equipés d’un IRTF à matrice Plan Focal, ils réalisent de l’imagerie des MP.

Le laboratoire GéoHydrosystèmes continentaux à Tours (GeHCO, C. Grosbois, M. Desmet et E. Dhivert) et le Laboratoire d'Ecologie des Hydrosystèmes Naturels et Anthropisés à Lyon (LEHNA, B. Mourier, T. Winiarski, J. Pruvost) regroupent des biogéochimistes et des sédimentologues qui étudient l'influence de la dynamique sédimentaire et l'aménagement des fleuves sur l'enregistrement sédimentaire des chroniques de contaminants en couplant des approches complémentaires (géophysique, géomorphologiques, sédimentologiques géochimiques et historiques).

Le laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement (LSCE, S. Ayrault et O. Evrard) est spécialisé dans les questions de flux sédimentaire dans les cours d’eau et l’utilisation de radionucléides pour le traçage des sédiments ou la datation des archives sédimentaires. Ces trois équipes sont actuellement impliquées dans le projet INTERPOL qui s’appuie sur le réseau LTER-France.